Droit à l’oubli : Google refuse l’injonction de la CNIL

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Si le cerveau humain a une capacité à oublier les informations qu’il reçoit, ce
n’est pas le cas de l’ordinateur. Concrètement, le droit à l’oubli dans le monde
de l’internet devrait obliger les réseaux à oublier ce que l’on a pu faire dans le passé.

Or, il y a encore du chemin à faire avant d’appliquer ce principe à tous les réseaux sociaux.

D’après une étude de Google, voici la liste des sites qui reviennent le plus souvent dans les demandes de droit à l’oubli.

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Malgré cette réalité, Google a refusé l’injonction de la Cnil, la Commision nationale de l’informatique et des libertés française, d’étendre le «droit à l’oubli» à l’ensemble des versions de son moteur de recherche. Google reste figé sur ses positions. Les décisions européennes s’appliquent à l’Europe, et pas au-delà.

Le conflit entre Google et la Cnil porte sur le périmètre des retraits. Lorsqu’il obtempère, le moteur de recherche retire les liens affichés sur les versions européennes de ses pages (.fr, .es, .co.uk, etc.), et non sur la version mondiale (.com) et sur celles des pays en dehors de l’Europe. Or, selon l’autorité française, «le déréférencement, pour être effectif, doit concerner toutes les extensions».

La CNIL a rappelé que «cette mise en demeure n’était pas une sanction», mais si Google ne s’y conformait pas, la Commission pourrait décider de «sanctionner les manquements à la loi Informatique et libertés» de l’entreprise.

En décembre 2014, Google avait été condamné pour la première fois par une juridiction française pour avoir refusé une demande de droit à l’oubli numérique.

Source : rue89, lemonde, lefigaro

Objets connectés : Qu’est ce que c’est ? Quels sont les risques ?

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Après le web et les applications mobiles, nous pouvons considérer les objets connectés comme la 3ème génération de l’internet. On comptait en 2009 plus de 2,5 milliards d’objets connectés dans le monde et ce chiffre devrait passer à 30 milliards d’ici 2020.

Un objet connecté est un matériel électronique qui peut communiquer avec un smartphone, une tablette tactile et/ou un ordinateur. Communiquer en ce sens qu’il peut envoyer et recevoir des informations, ceci par le biais d’une liaison sans fil, Bluetooth ou Wifi. L’intérêt principal, c’est l’interactivité, la possibilité de récupérer des informations, ou d’envoyer des statistiques, de créer des règles, etc.

Donc la technologie des objets connectés :

  • s’inscrit dans le phénomène Big Data, qui se réfère aux outils permettant le traitement et l’analyse rapide d’ensembles volumineux de données.
  • repose sur la valorisation économique des données produites et transmises par les utilisateurs.
  • permet d’alimenter des bases de données à des fins de profilage ou de ciblage .

Les domaines d’applications

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La santé

Un des grands axes des objets connectés. Il n’est plus nécessaire de se rendre dans une pharmacie ou chez son médecin pour suivre son rythme cardiaque, sa tension, sa masse graisseuse avec un bracelet connecté, une balance ou un tensiomètre. Il vous est aussi offert la possibilité d’effectuer un suivi, soit tout seul en collectant les informations sur le net, soit en collaboration avec un médecin qui pourra ajuster les soins en fonction des résultats obtenus.

Le sport

Avec une montre sportive ou un bracelet connecté, vous pouvez comptabiliser les kilomètres courus -ou marchés-, vous accédez à des statistiques, à votre historique, à vos records, et vous pouvez synchroniser vos résultats sur votre smartphone ou votre tablette, avec souvent un coaching en ligne.

Les loisirs

Avec les montres connectées, on peut recevoir ses email et SMS, des informations en temps réel, accéder à sa musique voire ses photos et vidéos, calculer un itinéraire, etc.

Les transports

Votre téléphone peut maintenant vous indiquer à quelle heure partir pour éviter les bouchons en voiture, vous indiquer le trajet le plus court mais d’autres appareils vous renseigneront aussi sur votre consommation de carburant.

Le milieu professionnel

Le domaine de la logistique sera le secteur qui subira le plus d’évolutions en connectivité. En effet, on peut très bien imaginer avoir une tablette qui nous renseigne sur l’évolution des stocks en temps réel via un container qui donnera directement l’information à la tablette. Egalement, des appareils électroménagers qui communiqueront directement avec le SAV en cas de problème.

La domotique et la sécurité.

C’est un des domaines ou l’aspect concret de cette technologie est déjà le plus présent. On trouve déjà des babyphones équipés de caméras pour surveiller son nourrisson ou des objets qui vous avertissent lorsqu’il y a des mouvements suspects dans votre maison.

Quels sont les risques ?

Le grand risque des objets connectés, outre que vous rendre fainéant, est la sécurité.

En effet, j’en avais déjà parlé dans divers articles notamment sur le Big Data mais qui dit objet connecté dit échange d’informations mais aussi dit stockage des informations sur un serveur distant. Et l’on sait qu’aujourd’hui, l’exploitation de l’information vaut de l’or. Et donc risque d’interception ou de détournement.

Deux chercheurs en sécurité ont prouvé qu’il est possible de prendre le contrôle à distance d’une voiture connectée. Lors d’une expérience, ils ont réussis à pirater le système Uconnect qui équipe certains modèles. Dans la vidéo ci-dessous, vous pourrez voir qu’ils arrivent à controler la radio, les essuis-glasses mais ils démontrent qu’ils peuvent prendre le contrôle du volant, de l’accélérateur et des freins et le véhicule fini sa course dans un fossé.

D’ailleurs, Fiat Chrysler a rappelé 1,4 million de véhicules pour corriger cette faille (article par ici).

Je ferais la même conclusion que pour l’article sur l’article « Vos documents sont-ils en sécurité dans le Cloud » : Les objets connectés sont une belle révolution et pratique mais il faut être conscient du danger sur la sécurité de nos données et surtout savoir rester vigilant, ne pas donner trop vite sa confiance en cette belle technologie.

Source :  fnac, time2marketing, haas-avocats, begeek

Qu’est ce que le « Cloud » ?

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Surtout depuis cette histoire de photos de starlettes dénudées qui circulent sur Internet comme Jennifer Lawrence, Ariane Grande, Kate Upton :  impossible d’échapper au «cloud». 

Mais qu’est ce que c’est concrètement ?

Qu’est ce que le Cloud ?

Vous utilisez depuis longtemps le cloud computing sans le savoir. Quand vous utilisez votre webmail, Hotmail, Gmail ou autre, vous faites du cloud. Le cloud computing, c’est accéder à des ressources informatiques qui sont quelque part, à travers internet.

L’appellation « Cloud » (« nuage » en anglais) désigne l’externalisation de vos données sur des serveurs distants, ce qui évite notamment d’avoir à stocker ces dernières sur un poste local.

L’intérêt est d’accéder à ses données depuis n’importe quel ordinateur connecté à Internet et de les synchroniser sur plusieurs appareils. Les bénéfices y sont multiples : gain d’espace, de ressources, de temps et d’argent. L’utilisateur peut accéder librement à ses documents sans se soucier de la machine qu’il utilise.

Qu’est ce que ça change dans notre quotidien ? Un exemple ?

Pour les utilisateurs normaux

Avant pour stocker et regarder vos photos numériques, vos musiques, vos films,  il fallait  un ordinateur et un disque dur suffisamment grand. Mais les inconvénients étaient que si votre ordinateur ou votre disque dur tombaient en panne, vous perdiez toutes vos données.

Or avec le cloud, vous utilisez un service de stockage donc vous avez juste besoin d’être connecté à Internet (tablette, ordinateur, téléviseur, smartphone, …) pour regarder vos photos, vos musiques, vos films etc.  de n’importe où. L’ avantage du Cloud est que vos données ne sont pas stockés sur vos matériels mais sur les serveurs d’un hébergeur (Google, Orange, Amazon, Apple etc) donc en cas de problème matériel, c’est l’hébergeur qui gère.

Pour les entreprises

Il est surtout économique. Si on est une très petite entreprise, cela permet de lancer un service sans aucun investissement capitalistique en hardware. Ainsi, pratiquement plus aucune start-up du logiciel n’investit dans du matériel lourd, aujourd’hui. Le deuxième avantage, c’est de pouvoir bénéficier d’économies d’échelle qui ont une répercussion économique. Par exemple, les ressources informatiques qui ne sont pas utilisées par les entreprises françaises la nuit, le sont par des entreprises à l’autre bout de la planète. C’est un peu comme une usine qui tournerait 24 heures sur 24, et dont les ressources sont partagées.

Les offres de Cloud Computing sont définies par rapport à la répartition des rôles qui est effectuée entre le fournisseur de service Cloud et l’entreprise. Il en existe trois modèles :

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  • IaaS (Infrastructure as a Service)
    Dans le modèle IaaS, seul le matériel (serveurs, baies de stockage, réseaux) qui constitue l’infrastructure est hébergé chez un prestataire ou un fournisseur. Avec le IaaS, l’entreprise bénéficie d’une infrastructure mutualisée (pour des raisons évidentes de coûts des matériels) et automatisée.
  • Paas (Platform as a Service)
    Le modèle PaaS se place sur le niveau supérieur du IaaS en offrant aux entreprises un environnement leur permettant de déployer leurs développements. Le PaaS fournit ainsi des langages de programmation, des bases de données et différents services pour faire fonctionner leurs applications.
  • SaaS (Software as a Service)
    Le modèle SaaS fournit des applications à l’utilisateur sous la forme d’un service prêt à l’emploi qui ne nécessite aucune maintenance..

Comment est né le Cloud ?

Le cloud computing est le genre de concept dont on n’arrive pas à attribuer précisément la paternité.
Certains l’attribuent au père fondateur d’internet (Arpanet), technologie sans laquelle l’informatique dans les nuages n’existerait pas. D’autres pensent que la discipline n’est apparue que plus tard, dans les années 2000, telle une solution à un problème rencontré par Amazon : le surdimensionnement de son parc de serveurs hors période de fêtes. Pour rentabiliser ces machines, il décida de louer ses serveurs à d’autres entreprises à la demande.

Mais Salesforces fut le premier, en 1999, à transformer ce concept en business avec le logiciel de gestion de la relation client éponyme. Amazon lui emboîte le pas en 2002.

SourceExpressWikipédiaPetite EntrepriseNumergie

Vos documents sont-ils en sécurité sur le cloud?

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Le cloud est sans doute une des inventions majeures de ces dernières années. Cependant, la sécurité des données qui y sont stockées est-elle réellement assurée ?

Les fournisseurs de cloud, majoritairement américains, ont l’habitude de créer des « back doors » leur permettant d’accéder à tout moment aux données qu’ils stockent. Ils ont donc théoriquement accès à vos photos, vos textes mais aussi aux données publiques, stockées par les institutions et gouvernement.

De plus, le Patriot Act découlant des attentats du 11 Septembre accorde au gouvernement américain un accès total aux données stockées sur le cloud.

Ces failles posent clairement le problème du respect des libertés individuelles.

Des conditions d’utilisation parfois obscures

Effectivement,  il y a des sociétés qui disent bien dans leurs règles de confidentialité qu’elles utilisent ces contenus pour améliorer leurs services (et donc se donnent le droit de regarder vos documents par la même occasion.

Si on lit attentivement ceux de Microsoft, on peut lire  «Microsoft est susceptible d’utiliser, de modifier, d’adapter, de reproduire, de distribuer et d’afficher le contenu publié sur le service, et vous autorisez Microsoft à effectuer ces opérations».

Donc même si nous le faisons pas car nous avons la paresse de lire les règles de confidentialité ou encore les conditions d’utilisations : il faut absolument le faire pour déterminer si vous acceptez que votre document soit analysé, vue, exploité ou pas ?

Ne pas tout mettre sur le Cloud

Il faut s’imposer un certain nombre de règles: ne pas avoir de mot de passe trop simple et ne pas avoir le même mot de passe sur différents services sur Internet.

Types de contenus qu’il faut éviter de stocker en ligne :

    Photos privées
    Données bancaires
    Documents confidentielles
    Données médicales

Doit-on arrêter d’utiliser le Cloud ?

Bien sûr que non, car c’est un service bien pratique de nos jours mais il faut être conscient du risque d’exposition de nos données.

Source : Ludosln

Google I/O

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Le 28 Mai avait lieu la conférence tant attendu de Google I/O 2015 qui a été à la hauteur des attentes des développeurs.

En résumé, les nouveautés à venir sur ses plateformes

  • La nouvelle app Google Photos, disponible sur Android et iOS, offre un stockage illimité gratuit dans le Cloud et propose une organisation intelligente de ses clichés grâce à la reconnaissance d’images.
  • La plateforme Brillo veut simplifier la communication de l’Internet des objets
  • Android Pay est relancé avec 700 chaînes partenaires aux Etats-Unis et sera sécurisé via empreinte digitale.
  • Android M sortira à l’automne avec des contrôles sur le partage des données avec chaque app.
  • Le système Jump permet de filmer en 3D à 360° pour des expériences immersives, notamment en partenariat avec GoPro.
  • La réalité virtuelle low-cost en carton de Cardboard bénéficie d’une nouvelle boîte et d’un programme de visites scolaires virtuelles.

Google Photo

La photo était l’un des points forts de Google+, le réseau social de Google qui n’a jamais réussi à concurrencer Facebook. Il acquiert aujourd’hui son indépendance. Sur Internet, on peut y accéder sans passer par Google+, via l’adresse photos.google.com. Et sur smartphones, l’application Photos, qui servait surtout à stocker et visionner les clichés, a reçu une mise à jour bourrée de nouveautés.

Une application qui travaille à votre place

Deux grandes fonctions sont apparues dans la nouvelle mouture de Google Photos: les collections et l’assistant.

Premier constat en se rendant dans les collections: Google Photos a travaillé pour vous. L’application a réalisé des «Histoires» toute seule en fonction du contenu, de la géolocalisation, et du moment où la photo a été prise. Nul besoin de trouver un titre, l’application s’en est déjà chargé.

L’assistant est l’autre pilier du nouveau Google Photos. Il permet de combiner plusieurs photos pour créer des histoires, des animations, des montages, ou de simples albums. L’assistant peut également créer de petits films à partir d’une sélections de Photos, auxquelles on peut ajouter des filtres, différents effets de transition et de la musique (une banque de sons est intégrée).

La plateforme Brillo

Brillo, un système d’exploitation dédié aux objets connectés. Attendu par les spécialistes, qui avaient prévu son annonce, Brillo est le fer de lance de l’entreprise pour l’Internet des objets. Le système est par exemple destiné aux verrous de porte, dans le cadre d’une maison connectée, qui est la spécialité de la filiale Nest. Il est dérivé d’Android, en offrant certaines de ses possibilités de connectivité (Wi-Fi, Bluetooth Low Energy). Le système est travaillé pour la sécurité. Avec cette annonce, Google s’aligne sur des concurrents industriels importants, comme ARM, Huawei ou encore Microsoft.

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Sources : 20minutes, Nextimpact

Qu’est ce que le Big Data ?

Le Big Data ? Une masse de données? De quoi s’agit-il réellement et pourquoi faut-il s’en préoccuper ?

Après avoir surtout été un mot à la mode, le Big Data est aujourd’hui une vraie tendance de fond qui gagne en popularité et, chaque jour, de nouveaux articles de presse mentionnent les applications rendues possibles grâce au Big Data alors que c’est un phénomène qui existe depuis longtemps et qui n’est pas propre au 21ème siècle.

Ce terme est assez mal compris en France malgré que nous commençons à prendre quelques peu consciences des enjeux et de l’intérêt alors qu’aux États-Unis, tout le monde sait bien que les données : c’est «le nouveau pétrole» !

POUR FAIRE SIMPLE, LE BIG DATA C’EST …


Le Big Data, c’est une explosion de données dont le traitement de ces données est ultra-rapide grâce à des super-calculateurs.

Le principe du Big Data se résume au 3 V : Volume, Velocity, Variety.

  • Volume : la quantité des données à gérer.
  • Velocity : la rapidité avec laquelle les données produites doivent être traitées.
  • Variety : le grand nombre de formats de données qui doit pouvoir être pris en compte.

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Une des promesses du Big Data est donc de pouvoir mieux cibler les clients ou encore de détecter des fraudes ou des combinaisons de données encore insoupçonnées grâce au fait que toute donnée collectée est stockée et donc disponible pour le métier.

EXPLOSION DE DONNÉES ? LESQUELLES ? À QUELLES FINS ?


Il faut comprendre qu’à chaque fois que nous naviguons sur Internet, nous créons de la données : en faisant une recherche, en envoyant un mail, en utilisant la carte bancaire, en s’inscrivant sur un site …etc. Ces données sont en général réutilisées pour tirer des enseignements pertinents afin d’accroître la connaissance sur un environnement professionnel notamment pour mieux cerner le besoin du consommateur.

En effet, il suffit, par exemple, de faire une fois une recherche pour réserver un voyage et vous serez spammer de publicités proposant de voyages lors de votre navigation (à moins que vous ayez ADBlock évidemment).

Voici quelques exemples concrets de l’utilisation du Big Data par des entreprises très connues :

 

Qu’est ce qu’une API ?

C’est un terme que l’on entend de plus en plus et que l’on utilise régulièrement sans vraiment en connaitre la signification ni les propriétés.

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Une API (Application Programmable Interface, traduisez « interface de programmation » ou « interface pour l’accès programmé aux applications) est un ensemble de fonctions permettant d’accéder aux services d’une application, par l’intermédiaire d’un langage de programmation.

Autrement dit l’API est une interface fourni par un programme ou une technologie pour de faciliter le travail d’un programmeur en lui fournissant les outils de base nécessaires. Google, Facebook come beaucoup d’acteurs du web ont leur interface API pour faciliter le développement d’applications.

Exemples d’utilisation

  • Utilisateur lambda sur un site : Vous avez du remarqué que maintenant vous pouvez vous connecter/vous s’inscrire sur un site directement avec vos identifiants Facebook/Google/Twitter. En effet, grâce à l’API OAuth 2.0 qui permet d’accéder aux informations utilisateurs de différents services.
  • Développeurs : certains sites vont plus loin comme Google, Twitter, Facebook… ils mettent leurs APIs à disposition, ils offrent aussi la possibilité de créer votre propre API et de la partager avec une communauté.

La petite histoire des APIs …

Les APIs ont commencés à apparaitre dans les années 2000. C’est Salesforce qui a été le précursseur dans le lancement d’une API pour multiplier sa présence sur le Web. Quelques temps plus tard, eBay lança également son API suivi d’Amazone puis de Google et ainsi de suite …

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Aujourd’hui Google est devenu le plus grand fournisseur sur le marché des APIs. En effet, Google possède plus de 150 APIs dont l’API Google Maps qui est utilisés par de nombreux sites.

Vous pouvez retrouver ici la liste de toutes les APIs existantes